mardi

Mieux que le Vietnam, Satya



Toi qui publies de jolies asiatiques sur ton blog, regarde donc ce que j'ai trouvé en Ardèche, au hasard d'une balade à côté de chez moi!
Le fils de nos nouveaux voisins... Hmmm...
Il est cute, non?

dimanche

P.R

C'est là-haut.
C'est chez moi.
Sat' a bidouillé la photo. C'est son écriture, aussi.
Mais je n'arrive pas à déchiffrer...

jeudi

Défouloir!

C'est pas vrai, d'abord, moi, j'adore le Métal!

mercredi

Punie!



La cinémathèque, ça sera sans moi, les potes.
Je dois aller voir ma mère en Ardèche.
Là-bas, les cerises sont rouges. J'en mangerai plein en pensant à vous.
N'empêche, j'ai les boules.
GRRRRR....
Dommage pour le Bal des maudits. Tant pis pour Marlon et Montgomery...
Gasp.
Pensez-à moi, les blue Cerises...



mardi

Comment t'oublier?



Immense et rouge

Au-dessus du Grand Palais

Le soleil d’hiver apparaît

Et disparaît

Comme lui mon cœur va disparaître

Et tout mon sang va s’en aller

S’en aller à ta recherche

Mon amour

Ma beauté

Et te trouver

Là où tu es.


Jacques Prévert

samedi

Toit, toit, mon toit...


La vie des gens, j'ai le vertige...

vendredi

Tout le monde croise à un moment une fraise tagada


Hellolapomme/Flickr

"«Nous en sommes maintenant à deux générations de mangeurs de Tagada, et tout le monde croise à un moment de sa vie une Tagada», explique Jean-Philippe André, lui-même tombé dans les fraises lorsqu’il cherchait du carburant pour mener à bien ses révisions d’étudiant à Science Po."



Je suis si émue!
Les fraises tagada ont 40 ans. Et Catherine Mallaval, dans Libération leur rend un hommage mérité.

"Enfin. Oui enfin une occasion de rendre un hommage aussi gluant que régressif à un homme qui avec pour seul capital de départ un sac de sucre, une plaque de marbre, un four, un chaudron de cuivre et un rouleau fonda en 1920 dans la buanderie de sa maison un monstre du délice. Son nom : Hans Riegel. C’est lui Monsieur Haribo (acronyme de Hans Riegel Bonn). Oui, le gars à qui l’on doit des bonbons en gomme gélifiée, des langues roses, vertes ou bleues, une enfance chez le dentiste. Celui sans qui le summum du sommet de la gourmandise n’aurait jamais existé : la Tagada. Plus communément, bien qu’improprement, appelée la fraise Tagada. Un petit bijou de gélatine, enrobé de sucre fin rose et aromatisé qui vous font déjanter les papilles, sans compter sa propension à déclencher des comportements compulsifs."


(C'est teeeeeeeellement vrai, schlurp)


la suite...



Festival Ziks Idées sauvages...



Tiens, un festival fait pour moi...
Ah, les Ramoneurs de menhirs, ça change des Doors, non?